ACTIVITES DE LA COMPAGNIE

La Compagnie "Montilisio salto" est composée de 23 membres dont 16 danseurs. Les danses proposées sont fonction de la demande des organisateurs et de l'époque historique concernée. La troupe propose plus de 230 chorégraphies à son répertoire, dont une centaine pour la période allant du Moyen-Âge à la Renaissance et plus de 120 pour la période se situant du 17ème au début du 19ème siècle. L'origine des danses est également variée puisqu'elles sont empruntées aux répertoire français, italiens et anglais et sont issues de manuels écrit par les plus grands maîtres de la danse en Europe.

Un autre atout majeur de la Compagnie est d'inviter le public à participer à des danses simples afin de le familiariser avec les divertissements de l'époque. Elle peut également animer des bals ou organiser des stages ou bien encore participer à un spectacle chorégraphique.

Notre répertoire étant très étendu, nous avons choisi d'être accompagnés par une sono ambulante customisée en fonction de l'époque, et diffusant des musiques toutes spécifiquement enregistrées pour des danseurs. 

Depuis sa création la Compagnie s'est produite dans de très nombreuses fêtes, aussi bien publiques que privées, aux quatre coins de France. Ses qualités de prestations lui valent d'être sollicitée de nombreuses fois au même endroit.

Cette activité s'étend du Moyen-Âge jusqu'à la fin du 18ème siècle

Cette animation tout public s'articule comme un cabinet de curiosités où étaient exposés des objets collectionnées avec un certain goût pour l'hétéroclisme et l'inédit. L'antre est divisée en deux parties distinctes :

La première est consacrée à toutes les substances tirées des dragons pouvant servir à soigner l'être humain. vous y trouverez aussi bien du sang de dragon, que de l'huile de dragon, de l'urine, des griffes, des crânes ou autres ossements. Tous les ingrédients sont étiquetés et un livret, destinée aux lettrés, explique la fonction de tel ou tel organe.

La deuxième s'attache à faire découvrir les différents matériaux que doit posséder tout bon dragonnier dans sa chasse ou sa recherche des dragons de la planète. Vous y trouverez aussi bien un habillement complet, mais aussi divers instruments vous permettant d'approcher un dragon sans risque ou tout au moins avec le moins de problèmes possibles. Enfin le tout est accompagné de différents artefacts, comme des médailles, des armes ou bien encore des figurines ou autres objets se rapportant aux dragons.

N'hésitez pas a demander conseil à Philibert Dragonneau, notre célèbre dragonnier, si l'envie vous prenait de partir à la chasse aux dragons. 

Cette activité s'étend du Moyen-Âge jusqu'à la fin du 18ème siècle.

Philibert de Clysterus (Phiphi pour les intimes) est notre apothicaire patenté. Vous ne pourrez vous passer de lui tant ses connaissances son immenses en matière médicale. Aidé par Dame Adélaïde de Scorbut, sa fidèle assistante, il vous prodiguera oreilles de chats pour guérir vos panaris, crottes de chiens pour soigner vos coliques, verre d'urine d'homme 2 à 3 fois par jour pour vos vapeurs hystériques, eau de mouche pour apaiser vos yeux, sans oublier ses pansements à base de toile d'araignée !!!

Son coffret de chirurgie vous promet également de bien douloureux moments.

Cette activité s'étend de la Renaissance jusqu'à la fin du 18ème siècle.

Le cabinet de curiosités était un lieu où l'on exposait des objets variés, parfois surprenants ou douteux. On y trouvait couramment des médailles, des antiquités, des objets d'histoire naturelle (animaux empaillés, insectes séchés, coquillages, squelettes, carapaces, herbiers, fossiles) où des œuvres d'art. 

Apparus à la Renaissance en Europe, les cabinets de curiosités (studiolo italien) sont l'ancêtre des musées et des muséums. Ils ont joué un rôle fondamental dans l'essor de la science moderne même s'ils gardaient les traces des croyances populaires de l'époque ; il n'était pas rare d'y trouver du sang de dragon séché, des squelettes d'animaux mythiques ou des cornes de licorne.

C'est Dame Bélissende de Cousette-Choryphée qui vous guidera dans ce labyrinthe scientifique.

Cette activité s'étend du Moyen-Âge à la Renaissance

Une première approche considère que ce sont des motifs d'ordre essentiellement pratique qui ont conduit les premiers hommes à se vêtir pour notamment se protéger du froid. Une seconde analyse privilégie des raisons majoritairement psychologiques et symboliques. On la retrouve aussi bien que dans des textes sacrés comme la bible, où les costumes ont vocation à permettre le respect et la pudeur des individus, que dans les travaux d'anthropologues qui s'intéressent aux tabous et à la magie. Bien entendu le désir de plaire, même s'il est intervenu plus tard, aura une grande importance dans la vie du genre humain.

Nous avons la chance e compter dans notre troupe Dame Guillemette de Brocartine qui vous fera découvrir les atours des belles dames et beaux messieurs, mais aussi des bourgeois et villageois. Les étoffes utilisées, les différentes pièces des vêtements féminins et masculins, les accessoires.....Des ouvrages illustrés complèteront la présentation de cette garde-robe.

Cette activité s'étend du Moyen-Âge à la Renaissance

Voilà un atelier bien alléchant qui excitera vos papilles au plus haut point !! Pour autant que vous appréciez les saveurs épicées et sucrées de l'époque.

C'est notre chef Rixende de Nougatine qui vous fera découvrir les épices abondamment utilisés par le passé, les fruits secs, les légumes oubliés (certains de nos jours redécouverts), et bien entendu les nombreuses recettes (qu'elle à testées) tirées d'ouvrages réputés de l'époque. Elle procédera à votre éducation concernant votre tenue à table, et vous fera découvrir les ingrédients des boissons consommées, pas toujours avec modération.

Animation du Moyen-Âge et de la Renaissance

Le décrotteur, aussi nommé cireur de chaussures, est encore un métier pratiqué de nos jours dans certains pays. Mais savez-vous qu'au Moyen-Âge le décrotteur non seulement astiquait vos chausses mais nettoyait également quelques parties de l'anatomie humaine !!!

Chez nous c'est notre ami Boutou, qui avec sa brouette médiévale itinérante, se ballade dans les fêtes pour proposer ses services. Bien calé sur votre siège il curera, à la demande, non seulement vos souliers et bottes, mais aussi vos ongles, vos oreilles et pourquoi pas votre nez !!!! Pour cela il est outillé de reproductions d'ustensiles d'époque qu'il se fera une joie d'utiliser sur votre personne !!!

Cette activité s'étend du Moyen-Âge à la Renaissance

Au Moyen-Âge l'écrivain public se définissait comme une personne qui rédigeait des lettres, des actes ou tout autres document pour des personnes qui ne savaient pas écrire o qui connaissaient mal les lettres. Pour cela il doit bien entendu maîtriser les règles de grammaire, de syntaxe, et disposer d'un vocabulaire étendu. A cette époque de notre histoire bon nombre de personnes étaient illettrées, ce corps de métier était donc fort utile à la population.

Bien évidemment notre troupe s'est doté d'un excellent écrivain public en la personne de notre ami Drogon. Vous le trouverez dans sa tente ou son échoppe, armé de sa plume, de son papier, de sa cire à cacheter et il vous concoctera des petits mots tendres pour votre dulcinée oui parfois quelques remontrances adressées à qui de droit. Quelques exemples de sa productive prose vous permettront d'apprécier son talent.

Activité du Moyen-Âge jusqu'à.....nos jours

(par exemple fêtes de fin d'année pour les enfants).

Cette exposition rencontre toujours un succès considérable. Elle compte plus de 400 dragons en peluche de toutes formes et de toutes fantaisies. Leur taille varie de quelques cm. à plus de 1,20m. Sur 4 pattes ou 2 pattes leur frimousse enchantera les petits et les grands. La collection est présentée soit dans un décor floral imaginaire réalisé avec gazon et plantes artificielles, soit dans un ambiance hétéroclite où les dragons s'approprient des objets d'usage courant. Philibert Dragonneau notre spécialiste en Dragonologie connait leur histoire ainsi que les mythes et légendes se rattachant à ce curieux animal. Philibert a même réuni plusieurs classeurs où sont décrits méticuleusement les dragons de sa collection.

ATTENTION : il est demandé aux parents de bien surveiller leurs enfants, Philibert Dragonneau ne peur être tenu responsable des divers maux provoqués par certains de ses pensionnaires turbulents (morsures, griffures, jets de flamme).

Cette activité s'étend du 17ème siècle à la fin du 18ème siècle.

Si d'ordinaire seuls les hommes étaient habilités à concevoir des costumes et autres vêtements, il faudra attendre le 17ème siècle pour qu'une ordonnance de Louis XIV autorise les femmes à pratiquer le métier de couturière. A partir du 18ème siècle certaines d'entre elles deviendront éminemment célèbres, comme Madame Rose Bertin, couturière attitrée de Marie-Antoinette.

Cette échoppe, d'époque 17ème et 18ème siècles, est tenue pas notre grande amie 2tamine d'Ourlet de Guipure, Maitresse couturière. Elle n'a pas son pareil pour vous envelopper de soieries damassées, de brocarts, de satin, de velours, de dentelles et de rubans. Elle vous proposera également d'essayer perruques, coiffes et chapeaux. Nous sommes certains qu'elle acquerra bientôt la célébrité de son illustre prédécesseur. 

Cette activité s'étend du Moyen-Âge à la fin du 18ème siècle.

Au Moyen-Âge, "patenôtrier" désignait les fabricants de chapelets et rosaires. Organisés en corporations ou en confréries, ils travaillaient sur des matières souvent riches comme l'émail, les perles, le nacre, l'ambre, l'argent, le corail et même l'or. Mais bien souvent les plus pauvres se contentaient de chapelets et bijoux créés à partir de matières naturelles, trouvées dans la nature. 

C'est ce que vous montreront Dame Hildegarde de Dame Ermeline qui ont choisi de travailler uniquement avec des graines d'arbres et d'arbustes. Certaines de ces graines ont d'ailleurs reçu des noms prédestinés : 'Larme de Job', 'Pater Noster', 'Arbre aux Chapelets'....Elles proposent également des colliers, bracelets, boucles d'oreilles et autres babioles destinées à ornementer les belles dames et gents damoiseaux. Vous découvrirez aussi sur leur étal les fruits d'où proviennent certaines de ces graines.

Cette activité s'étend du Moyen-Âge jusqu'à la fin du 18ème siècle.

Les Poupetiers ou Poupetières, du latin pupa qui veut dire poupée, étaient les petites gens qui fabriquaient de leurs mains des poupées destinées aux enfants. Ce corps de métier, connu depuis l'antiquité, travaillait différents matériaux permettant de recréer des petits personnages féminins ou masculins. Comme la plupart des figurines étaient réalisées en tissus, beaucoup disparurent suite à la dégradation de la matière utilisée. Seules quelques formes furent préservées dans les tombeaux égyptiens. Mais parfois les poupées étaient habillées sur des structures de bois qui furent préservées jusqu'à nos jours.

Notre Poupetière Emma de Poupon vous renseignera sur l'art de fabriquer les poupées, sur les matériaux utilisés, sur le choix des costumes et vous expliquera en détail avec quoi étaient rembourrés ces personnages miniatures. Avec sa complice Camille de Tempérensse-Modesty, elle vous parlera également des teintures naturelles végétales de l'époque.